Cette étude française du centre d’infection et d’immunité de Lille (CNRS/INSERM/Institut Pasteur de Lille/ Université de LIlle/CHU de Lille et l’INRAE) révèlent pour la première fois chez la souris, que les perturbations du microbiote intestinal engendrées par le virus de la grippe favorisent les surinfections bactériennes secondaires. Les résultats de leur étude offrent de nouvelles perspectives pour la prévention et le traitement des pneumonies bactériennes, une cause majeure de décès chez les personnes âgées ou vulnérables infectées par le virus de la grippe. Voici les principales conclusions de l’étude :
- La grippe modifie la production de SCFA par le microbiote intestinal,
- Le microbiote dysbiotique transfère la sensibilité à l’infection bactérienne respiratoire,
- La supplémentation en acétate rétablit l’activité destructrice des macrophages alvéolaires,
- L’activation du récepteur SCFA FFAR2 protège contre la surinfection bactérienne.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter le communiqué de presse de l’INRAE et l’étude complète.
Orchidali peut vous aider à conduire des analyses et revues de la littérature scientifique.
Etat grippal : lutter contre les surinfections bactériennes grâce au microbiote
Cette étude française du centre d’infection et d’immunité de Lille (CNRS/INSERM/Institut Pasteur de Lille/ Université de LIlle/CHU de Lille et l’INRAE) révèlent pour la première fois chez la souris, que les perturbations du microbiote intestinal engendrées par le virus de la grippe favorisent les surinfections bactériennes secondaires. Les résultats de leur étude offrent de nouvelles perspectives pour la prévention et le traitement des pneumonies bactériennes, une cause majeure de décès chez les personnes âgées ou vulnérables infectées par le virus de la grippe. Voici les principales conclusions de l’étude :
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter le communiqué de presse de l’INRAE et l’étude complète.
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