En Europe, on estime entre 20 et 30 % l’impact environnemental des foyers sur le réchauffement climatique. Cette récente étude s’attache à observer et comparer les changements climatiques et alimentaires à travers 5 pays d’Europe (France, Italie, Royaume-Uni, Finlande et Suède). Les recommandations et changements nutritionnels sont similaires par pays. Mais d’après les chercheurs de cette étude, suivre stricto sensus les recommandations nutritionnels de chaque pays sans égard pour l’environnement, provoquerait une hausse des gaz à effet de serre dans chaque pays. Les chercheurs pensent toutefois qu’une alimentation qui réduirait de 62 à 68% les émissions de gaz à effet de serre tout en gardant un profil nutritionnel adéquat est envisageable. De grandes disparités entre pays existent quant à la consommation de viandes malgré des recommandations nutritionnelles équivalentes d’un pays à l’autre. Augmenter la part d’aliments d’origine végétale permettrait de réduire l’effet de serre de la production animale sur la couche d’ozone.
Pour en savoir plus sur cette étude, vous pouvez consulter l’article complet.
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Etude sur l’impact de l’alimentation durable et équilibrée sur l’environnement à travers l’Europe par l’INRA et MSI-Nutrition
En Europe, on estime entre 20 et 30 % l’impact environnemental des foyers sur le réchauffement climatique. Cette récente étude s’attache à observer et comparer les changements climatiques et alimentaires à travers 5 pays d’Europe (France, Italie, Royaume-Uni, Finlande et Suède). Les recommandations et changements nutritionnels sont similaires par pays. Mais d’après les chercheurs de cette étude, suivre stricto sensus les recommandations nutritionnels de chaque pays sans égard pour l’environnement, provoquerait une hausse des gaz à effet de serre dans chaque pays. Les chercheurs pensent toutefois qu’une alimentation qui réduirait de 62 à 68% les émissions de gaz à effet de serre tout en gardant un profil nutritionnel adéquat est envisageable. De grandes disparités entre pays existent quant à la consommation de viandes malgré des recommandations nutritionnelles équivalentes d’un pays à l’autre. Augmenter la part d’aliments d’origine végétale permettrait de réduire l’effet de serre de la production animale sur la couche d’ozone.
Pour en savoir plus sur cette étude, vous pouvez consulter l’article complet.
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