L’Organisation mondiale de gastroentérologie (la « WGO ») a récemment publié un document de lignes directrices mis à jour, visant à aider les gastro-entérologues et autres médecins à comprendre les applications cliniques appropriées des probiotiques ou des prébiotiques. La ligne directrice a été créée avec les contributions d’experts en gastroentérologie, en probiotiques et en prébiotiques, avec les efforts codirigés par des experts de l’Association scientifique internationale pour les probiotiques et les prébiotiques (ISAPP). Pour créer ces lignes directrices, les experts ont évalué de manière exhaustive les preuves issues d’essais randomisés et contrôlés sur les affections gastro-intestinales, notamment quelle souche ou substance prébiotique spécifique a montré un effet positif. Les lignes directrices présentent une liste de conditions pour lesquelles il existe des preuves positives de l’efficacité des probiotiques et/ou des prébiotiques.
Le projet de loi, qui contient des dispositions interdisant la production et la commercialisation de denrées alimentaires et d’aliments pour animaux cultivés à partir de cellules animales, a été proposé par le ministre de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et des Forêts et le ministre de la Santé, et approuvé par le Conseil des ministres.
Le cannabidiol, CBD, substance active d’origine le plus souvent naturelle, fait partie des phyto-cannabinoïdes. Le CBD comme le tétrahydrocannabinol (THC ) est présent dans la fleur et les feuilles de cannabis. C’est un psychotrope non addictif à la différence du THC . C’est aussi un composant sous forme d’extrait, de médicament, ou de produits de consommation courante dont seuls certains sont autorisés en France sous des conditions précises de teneur en THC. En outre, le CBD est considéré au niveau européen comme un nouvel aliment dont la sécurité est en cours d’évaluation par l’EFSA.
Le conseil scientifique de l’EFSA a évalué l’exposition au cuivre de toutes les sources, alimentaires ou non alimentaires, pour la première fois pour cette substance. Il en a conclu que l’exposition combinée au cuivre de toutes sources ne pose pas de problèmes de santé pour la population de l’UE.
Dans le cadre d’un nouveau Règlement, les larves du petit ténébrion mat entrent dans la liste des nouveaux aliments autorisés.
La vitamine D3, ou cholécalciférol, est essentielle au bon fonctionnement de notre organisme et joue un rôle déterminant dans la qualité du tissu osseux. Elle est apportée par l’alimentation (produits laitiers, poissons, œufs) et est synthétisée par la peau lors de son exposition au soleil. Pourtant, plus d’1 Français sur 3 ne parvient pas à couvrir ses besoins physiologiques en vitamine D3, ce qui constitue une préoccupation majeure de santé publique. En effet, une insuffisance en vitamine D3 expose à des risques connus pour la santé humaine, en particulier en période de croissance. Les sociétés savantes pédiatriques recommandent une supplémentation systématique des enfants en vitamine D pour prévenir le rachitisme et des personnes âgées pour éviter l’ostéoporose.
Conformément à l’article 31 du règlement (CE) n° 178/2002, la Commission européenne a demandé à l’EFSA d’évaluer si les données de deux nouvelles publications scientifiques présentées par la Société italienne de toxicologie étaient suffisantes pour réviser leurs conclusions sur la sécurité des dérivés d’hydroxyanthracène dans les aliments.
Un nouveau plan d’action conjoint One Health Joint Plan of Action (OH JPA) a été lancé par l’Organisation pour l’Alimentation et l’Agriculture (the FAO) des Nations Unies , le Programme des Nations Unies pour l’environnement (the UNEP), l’Organisation Mondiale de la Santé (the WHO) et l’Organisation Mondiale pour Santé Animale (the WOAH). Ce premier plan conjoint sur One Health vise à créer un cadre pour intégrer les systèmes et les capacités afin que nous puissions collectivement mieux prévenir, prévoir, détecter et répondre aux menaces pour la santé. Cette initiative vise à améliorer la santé des humains, des animaux, des plantes et de l’environnement, tout en contribuant au développement durable.
Le 28 juin s’est tenue une session d’information organisée sous la forme d’un webinaire pour présenter aux parties prenantes la déclaration récemment publiée sur la sécurité du cannabidiol en tant que Novel Food : lacunes et incertitudes des données.
L’avis scientifique de l’EFSA, adopté en juillet dernier, atteste la sécurité d’une préparation obtenue à partir d’Akkermansia muciniphila. Orchidali reprend et commente l’avis