Il a été démontré dans l’étude EPIC (European Prospective Investigation into Cancer and Nutrition) qu’une consommation plus élevée d’aliments ultra-transformés (UPFs) était associée à un risque accru de cancer et de multimorbidité cardiométabolique. De plus, les relations étaient différentes selon les sous-groupes de UPFs, ce qui suggère que les divers sous-groupes d’UPFS contribuent différemment.