Les propriétés «antioxydantes» peuvent être attribuées à 147 espèces végétales, selon les guides italiens sur les compléments alimentaires.
Les plantes, les algues, les champignons et les préparations dérivées (les soi-disant plantes) se trouvent encore dans une situation assez diversifiée selon les différents pays du marché européen. La directive 2002/46/CE a jeté les bases des compléments alimentaires, mais s’est concentrée sur les vitamines et les minéraux. Le règlement CE 1924/2006 sur les allégations nutritionnelles et de santé n’a pas encore pleinement atteint son objectif concernant cette catégorie de produits : la majorité des demandes d’allégations botaniques soumises à l’EFSA pour évaluation restent, à ce jour, toujours en suspens.
L’Italie, qui se caractérise par une tradition liée à un fort développement des compléments alimentaires à base d’extraits de plantes, a agi rapidement pour réglementer l’utilisation des plantes et leurs revendications au niveau national. Un décret ministériel italien (Decreto Ministeriale) a été conçu en 2012, portant une liste positive de plus de 1200 plantes autorisées et leurs conditions d’utilisation, ainsi que quelques guides sur leurs «effets physiologiques».
Au fil du temps, la liste des plantes autorisées a été mise à jour, notamment à la lumière de la création de la liste BelFrIt. En 2018, un nouveau décret (DM 10 août 2018, Disciplina dell’impiego negli integratori alimentari di sostanze e preparati vegetali) a remplacé le précédent ; sa dernière révision date de juillet 2019.
Les guides sur les effets physiologiques des plantes médicinales mentionnent une variété d’actions possibles soutenant les fonctions du corps humain, allant de la «fonctionnalité du système digestif» au «bien-être et trophisme des muqueuses». L’un des effets physiologiques possibles est, comme mentionné, «antioxydant». Il peut être référé à 147 espèces sur la liste. Les bulbes d’Allius sativum (ail), le rhizome de Curcuma longa (curcuma) et les graines de Theobroma cacao (cacaoyer) ne sont que quelques exemples de parties de plantes qui peuvent revendiquer des propriétés antioxydantes.
Cet arrêté ministériel contribue grandement à apprécier et à communiquer de manière responsable les effets des compléments alimentaires à base de plantes.
Pour plus d’informations, vous pouvez consulter le texte du décret – en italien – du ministère italien de la santé (Ministero della Salute).
Orchidali peut vous accompagner dans la préparation et la rédaction de dossiers règlementaires.
Focus sur les plantes dans les compléments alimentaires et les propriétés antioxydantes en Italie
Les propriétés «antioxydantes» peuvent être attribuées à 147 espèces végétales, selon les guides italiens sur les compléments alimentaires.
Les plantes, les algues, les champignons et les préparations dérivées (les soi-disant plantes) se trouvent encore dans une situation assez diversifiée selon les différents pays du marché européen. La directive 2002/46/CE a jeté les bases des compléments alimentaires, mais s’est concentrée sur les vitamines et les minéraux. Le règlement CE 1924/2006 sur les allégations nutritionnelles et de santé n’a pas encore pleinement atteint son objectif concernant cette catégorie de produits : la majorité des demandes d’allégations botaniques soumises à l’EFSA pour évaluation restent, à ce jour, toujours en suspens.
L’Italie, qui se caractérise par une tradition liée à un fort développement des compléments alimentaires à base d’extraits de plantes, a agi rapidement pour réglementer l’utilisation des plantes et leurs revendications au niveau national. Un décret ministériel italien (Decreto Ministeriale) a été conçu en 2012, portant une liste positive de plus de 1200 plantes autorisées et leurs conditions d’utilisation, ainsi que quelques guides sur leurs «effets physiologiques».
Au fil du temps, la liste des plantes autorisées a été mise à jour, notamment à la lumière de la création de la liste BelFrIt. En 2018, un nouveau décret (DM 10 août 2018, Disciplina dell’impiego negli integratori alimentari di sostanze e preparati vegetali) a remplacé le précédent ; sa dernière révision date de juillet 2019.
Les guides sur les effets physiologiques des plantes médicinales mentionnent une variété d’actions possibles soutenant les fonctions du corps humain, allant de la «fonctionnalité du système digestif» au «bien-être et trophisme des muqueuses». L’un des effets physiologiques possibles est, comme mentionné, «antioxydant». Il peut être référé à 147 espèces sur la liste. Les bulbes d’Allius sativum (ail), le rhizome de Curcuma longa (curcuma) et les graines de Theobroma cacao (cacaoyer) ne sont que quelques exemples de parties de plantes qui peuvent revendiquer des propriétés antioxydantes.
Cet arrêté ministériel contribue grandement à apprécier et à communiquer de manière responsable les effets des compléments alimentaires à base de plantes.
Pour plus d’informations, vous pouvez consulter le texte du décret – en italien – du ministère italien de la santé (Ministero della Salute).
Orchidali peut vous accompagner dans la préparation et la rédaction de dossiers règlementaires.
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