La Journée mondiale de la Santé 2024 sera ce dimanche 7 avril ! Selon le Conseil de l’OMS sur l’économie de la Santé pour tous, au moins 140 pays reconnaissent la santé comme un droit humain dans leur constitution. Pourtant, trop nombreux sont ceux qui n’ont pas adopté ni fait appliquer de lois garantissant à leur population le droit d’accéder aux services de santé. Cela explique pourquoi au moins 4,5 milliards de personnes – soit plus de la moitié de la population mondiale – n’étaient pas entièrement couvertes par les services de santé essentiels en 2021. Face à ces défis, le thème retenu pour cette édition de la Journée Mondiale de la santé 2024 est « Notre santé, nos droits ».
L’OMS/Europe invite les consommateurs à prendre part à un projet visant à créer une société plus saine. En effet, les consommateurs peuvent participer au test d’un outil d’intelligence artificielle (IA) qui aidera les pays de la Région européenne de l’OMS à surveiller et à réglementer efficacement la promotion de produits nocifs – du tabac et de l’alcool aux aliments riches en sel, en graisses trans et en sucres – et à contrôler la commercialisation des substituts du lait maternel et des aliments pour nourrissons et enfants en bas âge.
Un nouveau plan d’action conjoint One Health Joint Plan of Action (OH JPA) a été lancé par l’Organisation pour l’Alimentation et l’Agriculture (the FAO) des Nations Unies , le Programme des Nations Unies pour l’environnement (the UNEP), l’Organisation Mondiale de la Santé (the WHO) et l’Organisation Mondiale pour Santé Animale (the WOAH). Ce premier plan conjoint sur One Health vise à créer un cadre pour intégrer les systèmes et les capacités afin que nous puissions collectivement mieux prévenir, prévoir, détecter et répondre aux menaces pour la santé. Cette initiative vise à améliorer la santé des humains, des animaux, des plantes et de l’environnement, tout en contribuant au développement durable.
Le document conseille la Commission européenne sur deux piliers de la stratégie de la ferme à la fourchette.
Cette étude présente des estimations actualisées aux niveaux national, régional et mondial de la prévalence d’une activité physique insuffisante chez les adolescents