Le 19 Novembre 2025, le Lancet a lancé la série de 3 articles relative à la consommation d’aliments dits ultra-dits transformés et à leurs associations avec les maladies chroniques. Cette série rassemble les preuves relatives à la croissance des aliments dits ultra-transformés dans les régimes alimentaires au niveau mondial et met en avant leur association avec de nombreuses maladies chroniques non transmissibles. Un groupe de scientifiques appelle les politiques à l’action pour réduire l’accessibilité de ces produits.
L’édition 2025 de L’État de la sécurité alimentaire et de la nutrition dans le monde présente
la situation au regard des principaux indicateurs relatifs à la sécurité alimentaire et
à la nutrition à partir des dernières données disponibles, et appelle par ailleurs à une
coordination mondiale et à des actions bien ciblées, fondées sur des données probantes
et pilotées par les pays.
Le HCSP recommande une refonte du cadre stratégique du PNNS, avec un nom reflétant un champ d’action plus large incluant la durabilité environnementale, le sommeil, l’activité physique et la lutte contre la sédentarité, pour l’élaboration du PNNS 5 (2025-2030).
L’anses a publié le 30 Janvier un avis scientifique relatif aux impacts sur la santé de la consommation d’aliments ultra-transformés (AUT). L’Agence a conclu…
La Direction norvégienne de la santé et des affaires sociales a publié les recommandations alimentaires mises à jour pour la population générale en août 2024. Il est recommandé de choisir principalement des aliments d’origine végétale et de limiter la viande rouge et transformée.
À l’aube des Jeux Olympiques 2024, il est important pour les sportifs de savoir que l’application de la norme européenne NF EN 1744 les protège en limitant les agents dopants dans les compléments alimentaires pour sportifs.
Le règlement (UE) 2021/2117 publié le 2 décembre 2021 modifie les règles d’étiquetage des vins et des vins aromatisés et rend obligatoire la communication de la liste des ingrédients et la déclaration nutritionnelle de ces produits.
Le système agricole et alimentaire représente 34% des émissions des gaz à effet de serre (GES). La France s’est engagée à réduite de 46% les émissions de GES d’ici 2025. Une étude conjointe de la Société Française de Nutrition (SFN) et du Réseau Action Climat (RAC) réalisée par Nicole Darmon a montré qu’une réduction de 50% de la consommation de la viande associée à une augmentation de la consommation de végétaux adéquats permet de réduire de 35% l’impact carbone tout en satisfaisant les recommandations nutritionnelles pour les adultes.
L’Organisation mondiale de gastroentérologie (la « WGO ») a récemment publié un document de lignes directrices mis à jour, visant à aider les gastro-entérologues et autres médecins à comprendre les applications cliniques appropriées des probiotiques ou des prébiotiques. La ligne directrice a été créée avec les contributions d’experts en gastroentérologie, en probiotiques et en prébiotiques, avec les efforts codirigés par des experts de l’Association scientifique internationale pour les probiotiques et les prébiotiques (ISAPP). Pour créer ces lignes directrices, les experts ont évalué de manière exhaustive les preuves issues d’essais randomisés et contrôlés sur les affections gastro-intestinales, notamment quelle souche ou substance prébiotique spécifique a montré un effet positif. Les lignes directrices présentent une liste de conditions pour lesquelles il existe des preuves positives de l’efficacité des probiotiques et/ou des prébiotiques.
L’OMS/Europe invite les consommateurs à prendre part à un projet visant à créer une société plus saine. En effet, les consommateurs peuvent participer au test d’un outil d’intelligence artificielle (IA) qui aidera les pays de la Région européenne de l’OMS à surveiller et à réglementer efficacement la promotion de produits nocifs – du tabac et de l’alcool aux aliments riches en sel, en graisses trans et en sucres – et à contrôler la commercialisation des substituts du lait maternel et des aliments pour nourrissons et enfants en bas âge.