Un nouveau plan d’action conjoint One Health Joint Plan of Action (OH JPA) a été lancé par l’Organisation pour l’Alimentation et l’Agriculture (the FAO) des Nations Unies , le Programme des Nations Unies pour l’environnement (the UNEP), l’Organisation Mondiale de la Santé (the WHO) et l’Organisation Mondiale pour Santé Animale (the WOAH). Ce premier plan conjoint sur One Health vise à créer un cadre pour intégrer les systèmes et les capacités afin que nous puissions collectivement mieux prévenir, prévoir, détecter et répondre aux menaces pour la santé. Cette initiative vise à améliorer la santé des humains, des animaux, des plantes et de l’environnement, tout en contribuant au développement durable.
Le décret du Journal Officiel (JORF) « Lois et Décrets » n° 0150 du 30 juin 2022 interdira à compter du 1er octobre 2022 « la terminologie propre aux secteurs traditionnellement associés à la viande et au poisson pour désigner des produits n’appartenant pas au règne animal ». Mais il permet toutefois la commercialisation des « denrées fabriquées ou étiquetées » avant cette date (du 1er octobre) jusqu’au 31 décembre 2023 au plus tard.
Durant l’année 2021, la base de données NumAlim s’est développé et a changé de nom. En effet, le site de reférénrecement des produits alimentaires a changé de nom pour devenir UniversAlim. En même temps, NumAlim a également crée le HubAlim.
Santé publique France a annoncé dans sa lettre d’actualités de Septembre, les objectifs et axes de développement du PNNS 4 pour la fin d’année 2021 et le début d’année 2022.
Au cours des derniers mois, un vent de critiques a soufflé contre le Nutri-score, qui rencontre pourtant une adhésion croissante des consommateurs ; des modifications de l’algorithme ne sont pas exclues. Orchidali résume et commente les problèmes.
Les résultats de l’étude de cohorte PURE ont montré une association positive entre la consommation d’aliments ultra-transformés et le risque de maladies inflammatoires de l’intestin (MII).
Le 21 Juin 2021, la DGCCRF a communiqué le résultat de ses contrôles visant à vérifier le respect de la Règlementation Européenne
De mauvaises habitudes nutritionnelles sont liées à un stress perçu plus élevé, mais la relation entre la consommation de fruits et légumes